Découvrez l’histoire de l’œuvre intitulé « Sandahraat »

Sandahraat

Dans les profondeurs oubliées des légendes égyptiennes, bien avant que les pharaons ne grimpent sur leurs trônes d’or, il existait un emblème mystérieux et redouté, connu sous le nom de Sandahraat.

Sandahraat était un objet symbole du parcours de vie torturé d’une âme humaine: ceux qui avaient abusé de leur pouvoir, tourmenté des innocents, et trahi les lois sacrées de Maât, la déesse de la vérité et de l’ordre, étaient condamnés à subir un sort bien pire que la mort. 

Les prêtres, gardiens des secrets les plus sombres de l’Égypte antique, utilisaient cet emblème lors des rituels de momification pour infliger une punition éternelle aux âmes impies.

L’emblème de Sandahraat était sculpté avec soin, un emblème redoutable qu’on plaçait à la place du cœur du défunt, lors de l’embaumement. Le cœur, considéré comme le siège de l’âme et des émotions, était ainsi remplacé par ce symbole terrifiant, assurant que l’âme du défunt ne trouverait jamais la paix dans l’au-delà. Le Sandahraat représentait un animal fantastique, dont la forme exacte reste un mystère pour les archéologues. Certains anciens textes parlent d’une créature hybride, à la fois scarabée et chauve-souris, ses yeux brûlant d’une colère divine, ses ailes prêtes à bousculer les âmes fautives.

Le Sandahraat est désormais une énigme du passé, un mystère gravé dans la pierre et dans les âmes qu’il a condamnées.

L’objet même du Sandahraat demeure une ombre, un avertissement silencieux aux tyrans et aux cruels, leur rappelant que, même après la mort, leurs actions ne seront jamais oubliées. 

Inspirés par cette légende fascinante, nous avons passé de longues heures à travailler avec des matériaux de qualité pour créer une sculpture unique, aux teintes vibrantes de rouge et de violet, capturant l’essence de la force et du mystère. Cet objet, imprégné de symbolisme et de mythologie, est désormais prêt à accueillir un propriétaire intrépide, quelqu’un qui croit aux pouvoirs de l’âme et aux mystères de l’au-delà. Que cette œuvre soit non seulement une décoration, mais aussi un gardien des valeurs intemporelles qui ont inspiré sa création.